lundi 25 septembre 2006

Le Rapport Fries


Depuis le discours de Poitiers, historique dans le sens où pour la première fois, un Premier Minsitre parle avec intéret du jeu vidéo, il semble que les choses s'accélèrent.

Cette reconnaissance instutionnelle du jeu vidéo est suivie de la création d'écoles consacrées exclusivement au jeu vidéo.

Mais en 2003, le secteur du jeu vidéo en France a subi de plein fouet les répliques de l'éclattement de la bulle internet, et un coup de pouce s'avère nécessaire.
Ce coup de pouce prendra des formes diverses. Le plus souvent ce sont des aides à la création - prévues par les proposition de l'APOM - mais qui ne permettent que le démarrage d'un projet.

A la fin 2003, le rapport FRIES tire la sonnette d'alarme, le secteur est en danger, plus qu'en danger vu le nombre de faillites de studios français au cours des années précédentes, et évoque parmi ses nombreuses "proposition pour développer l'industrie du jeu vidéo" la mise au point d'un système qui a fait ses preuves à l'étranger - et notamment au Canada - à savoir, le crédit d'impôt.

A ce jour, il faut malheureusement souligner que ce système n'est toujours pas mis en place pour certaines raisons sur lesquelles je reviendrai plus tard.